Il est très facile de commencer nos phrases par il/elle a agit comme ça, il/elle a dit ça et oublier de retourner en soi pour observer ce que l’attitude de l’autre provoque en nous. N’oublions jamais, il n’y a que soi.
Qu’est-ce que je me refuse de ressentir à l’intérieur en portant mon regard au mauvais endroit, c’est-à-dire sur l’autre ? Qu’est-ce que je crois de moi, de l’autre, du monde, si je laisse l’autre me parler ou agir de cette façon ? Quelle croyance est-ce que je continue de nourrir ?
Là seulement réside la clé de notre paix ? L’autre n’arrive jamais par hasard dans notre vie. Il vient toujours pointer quelque chose. Soit nous acceptons de regarder enfin ce qui a besoin d’être révélé en nous et nous gagnons instantanément plus de liberté intérieure, soit nous continuons de considérer l’autre ou son attitude comme inadéquate et nous perpétuons nos propres schémas intérieurs limitants.
Choisissons en conscience de débroussailler nos propres jardins.
Une douce journée à tous
Sylvie – Voyage en conscience
Life is an adventure
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